Le growth hacking consiste à une combinaison de techniques, d’un état d’esprit et d’une méthodologie. Il a pour objectif de croître rapidement, par toutes les méthodes, un produit ou un service. Afin de mieux comprendre le growth hacking, ce guide complet et théorique vous aide à le voir plus clair.

Le growth hacking : son principe

En réalité, il ne s’agit pas d’une toute nouvelle technique. C’est l’amélioration des méthodes développées, depuis l’ère du numérique. Plus précisément, c’est une manière de voir, tout en entreprenant le développement stratégique et économique d’une entreprise. Habituellement, ce concept est utilisé par les startups qui s’exercent dans le monde numérique.

Cette méthode est plus efficace par rapport aux autres moyens. Pour la quasi-totalité de ses utilisateurs, elle a déjà fait ses preuves, particulièrement pour les entreprises déjà établies. Contrairement aux méthodes traditionnelles, tout s’applique pour accélérer la croissance d’un service ou d’un produit afin de générer rapidement des revenus passifs. Sur ce site spécialisé, vous pouvez tout apprendre sur ce dernier.

Les acteurs dans le growth hacking

Les spécialistes qui s’opèrent dans le growth hacking sont les Growth Hackers. Afin d’y parvenir, cela ne nécessite aucune formation ou aucune école particulière, mais des parfaites connaissances de l’univers informatique. En outre, ceux qui disposent des techniques de marketing ont une longueur d’avance dans ce domaine. En réalité, ce concept est la combinaison de l’expertise au marketing, de l’analyse de données et du développement.

Par ailleurs, les experts, qui travaillent dans ce domaine, ont des caractéristiques spécifiques, notamment la créativité, le risque et la confiance. Tout au long du processus, ils sont tenus d’utiliser toutes les ressources nécessaires pour l’augmentation de la croissance de votre entreprise, sans compromettre la légalité.

Le growth hacking : son fonctionnement

Malgré la panoplie des méthodes utilisées dans le growth hacking, son seul objectif repose sur la croissance. Pour parvenir à cette fin, toutes les méthodes, qui existent, semblent efficaces. En fait, il n’existe aucun document de marketing qui liste les différentes techniques en matière de growth hacking. Le principal critère à voir est la preuve de créativité. Elle vous permet de faire face aux différents obstacles et de dénicher des idées innovantes.

Malgré tout, l’un des points communs sur les différentes techniques est le suivi d’une voix progressive, appelée l’AARRR. C’est l’initiale de :

• L’acquisition : la visibilité et la notoriété
• L’activation : la conversion des clients
• La rétention : leur fidélisation
• Le Referral : la recommandation
• Les revenus : la monétisation

Les différentes formes de growth hacking

Dans la vie réelle, il est plus facile de définir le growth hacking que d’expliquer son fonctionnement. Toutes les opérations de marketing peuvent être classées comme des techniques de growth hacking. On peut citer, par exemple, les campagnes d’emailing, le SEO, l’acquisition par le biais de la publicité et les newsletters. Les différentes offres qui visent à retenir les clients font également partie de ce système.

Parmi les opérateurs qui ont déjà fait preuve du growth hacking, on reconnaît le Hotmail, le Dropbox, l’Airbnb, entre autres.